- 7 % des festivaliers français ont dépensé plus de 800 € pour leur festival le plus cher des six derniers mois.
- 32 % des participants utilisent une application comme tricount by bunq pour suivre et partager leurs dépenses.
- Environ 1 977 comptes tricount créés pour le HellFest, avec 115 € de dépenses en moyenne par festivalier.
Paris, le 18 septembre 2025 – Assister à un festival est une expérience inoubliable, mais son coût réel dépasse souvent les prévisions des participants. Alors que la saison des festivals touche à sa fin, une étude* menée par tricount by bunq, l’application mondiale qui simplifie le suivi des dépenses de groupe pour les vacances, les soirées et les colocation, auprès de 1 000 Français ayant assisté à au moins un festival au cours des six derniers mois révèle les dépenses inattendues qui ont grevé le budget des festivaliers et les difficultés liées au partage des coûts en groupe.
L’étude montre que les festivaliers dépensent souvent beaucoup plus que prévu pour leur festival. Interrogés sur le festival le plus cher auquel ils ont assisté dans les six derniers mois, près d’un tiers des répondants (31 %) ont déclaré avoir dépensé moins de 200 €, mais 20 % ont dépensé entre 400 et 600 € et 7 % ont dépassé les 800 €.
Les coûts supplémentaires ont été sous-estimés par la majorité : plus de la moitié des participants ont déclaré ne pas anticiper correctement leurs dépenses en boissons (52 %) et en nourriture (51 %), tandis que le transport dans le pays représentait une surprise pour 38 % et l’hébergement pour 30 %.
Les dépenses imprévues les plus fréquentes incluent les courses alimentaires de dernière minute, les taxis ou Ubers supplémentaires, et les tenues de festival achetées sur place. Les causes principales des dépenses “accidentelles” sont liées à l’impulsivité du moment (35 %), aux achats sous influence (31 %) et à la pression du groupe (26 %).
L’étude révèle que la gestion des dépenses en groupe reste compliquée. Près de la moitié des participants (44 %) se fient uniquement à un accord verbal, 23 % utilisent des feuilles de calcul ou des notes. Cette absence de suivi rigoureux peut générer des tensions : 25 % des participants ont déjà rencontré un conflit concernant le partage des dépenses. Pourtant, 80 % des participants pensent qu’un suivi précis des dépenses aurait permis d’éviter ces conflits.
C’est précisément pour éviter ces situations conflictuelles que 32 % des répondants ont recours à une application. Parmi eux, 32 % reconnaissent que ça leur fait prendre conscience de leurs dépenses, et 23 % constatent que ça permet d’éviter les conflits.
« Personne n’a envie de parler d’argent avec ses amis, surtout lors d’un festival », déclare Joe Wilson, Chief Evangelist chez bunq. « Pouvoir partager facilement les dépenses directement depuis son téléphone, c’est plus de temps pour se concentrer sur ce qui compte vraiment : la musique et l’expérience. »
Au-delà de l’étude, tricount by bunq a passé au crible les comptes créés sur son application à l’occasion des festivals cet été. Le BBK a été, de loin, le plus populaire auprès des utilisateurs de l’app, avec 30,7 M€ de dépenses partagées. Il est suivi par le HellFest (23,1 M€), Tomorrowland (18,8 M€) et Awakenings (11,6 M€).
*Enquête réalisée par Pollfish pour le compte de bunq en août 2025, auprès de 4 000 répondants répartis dans quatre pays : le Royaume-Uni (1 000), l’Espagne (1 000), l’Allemagne (1 000) et la France (1 000). L’objectif : comprendre comment les festivaliers au cours des six derniers mois ont géré, dépensé, partagé et suivi leurs dépenses.
À propos
bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, a entièrement repensé le modèle bancaire. Première banque au monde propulsée par l'IA, bunq intègre sa technologie propriétaire d’IA à tous les niveaux de son activité : qu’il s’agisse d’aider ses utilisateurs à mieux gérer leurs finances ou d’optimiser ses propres opérations internes. En développant un produit fondé sur les besoins et attentes réels de ses utilisateurs, bunq simplifie la vie des personnes et entreprises nomades, en repensant la manière dont elles dépensent, épargnent, budgétisent et investissent.
Véritable pionnière, bunq a été la première banque à obtenir une licence bancaire européenne en plus de 35 ans, a levé la plus importante série A jamais réalisée par une fintech européenne (193 millions d’euros) et est devenue la première néobanque de l’UE à atteindre une rentabilité structurelle. Dans le cadre de sa mission visant à bâtir la première néobanque mondiale, bunq a franchi une nouvelle étape en octobre 2025 en entrant sur le marché américain en tant que courtier agréé, avec d’autres expansions à venir. En savoir plus : www.bunq.com
Relations presse
Lien vers cette page
https://press.bunq.com/254399-billets-restauration-transport-le-vrai-prix-des-festivals-selon-les-francais/Autres thèmes
Sur le même thème
Inflation à l’Est, loyers en hausse à l’Ouest : le nouveau visage du coût de la vie en Europe
La néobanque bunq publie aujourd’hui la troisième édition de son Working Abroad Index 2025, une étude annuelle qui analyse le coût de la vie dans les principales capitales européennes.
bunq fait ses premiers pas aux États-Unis avec l’approbation de sa licence de courtier-négociant
bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, a reçu l’approbation de la FINRA pour opérer en tant que courtier-négociant (broker-dealer) aux États-Unis.
Argent, amour et distance : les couples français partagent moins… et se disputent plus
bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, a interrogé 4000 personnes en couple à travers la France, l’Espagne, le Royaume-Uni et les Pays-Bas pour mieux comprendre leur rapport à l’argent d...
Créer une entreprise en Europe : la France moins chère au départ mais plus coûteuse ensuite
bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, publie une étude inédite comparant les coûts de création et de gestion d’entreprise dans 10 pays européens.