Argent, amour et distance : les couples français partagent moins… et se disputent plus

Paris, le 1  juillet 2025 – bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, a interrogé 4000 personnes en couple à travers la France, l’Espagne, le Royaume-Uni et les Pays-Bas pour mieux comprendre leur rapport à l’argent dans la vie à deux. De la gestion des comptes communs à la fréquence des disputes, cette étude révèle de grandes disparités culturelles… et générationnelles.

L’argent, un sujet qui fâche… surtout en France, en Espagne et aussi aux Pays-Bas

Les Français sont les plus nombreux à se disputer à propos d’argent : 45% d’entre eux évoquent des conflits occasionnels, et jusqu’à une personne sur cinq, des conflits réguliers. En comparaison, seuls 8% des couples mariés au Royaume-Uni signalent des disputes fréquentes liées à l’argent.

En France et en Espagne, les désaccords portent principalement sur l’avenir financier : objectifs d’épargne, achat immobilier, etc. Cela concerne jusqu’à près de la moitié (48%) des couples espagnols non cohabitants. Les inégalités de revenus arrivent en deuxième position, loin devant les dépenses non approuvées sur les comptes partagés. Aux Pays-Bas, 46 % des couples déclarent également se disputer parfois au sujet de l’argent, ce qui montre que même dans un pays où un quart des couples préfèrent garder leurs finances séparées, les tensions financières sont bien présentes.

De plus, la transparence n’est pas toujours au rendez-vous. Entre 30% et 50% des personnes interrogées en France, en Espagne et au Royaume-Uni reconnaissent avoir déjà caché des achats ou des décisions financières à leur partenaire. Ce constat suggère que, même au sein des couples les plus soudés, l’autonomie financière garde parfois ses zones d’ombre.

Finances séparées ou fusionnées : les jeunes tranchent

Chez les jeunes adultes (18-24 ans), la tendance est claire : chacun gère son argent. C’est particulièrement vrai au Royaume-Uni, où 38% des jeunes couples conservent des finances entièrement séparées, contre 32% en Espagne, 28% en France, et 38% également aux Pays-Bas. 14% des couples néerlandais n’ont pas de compte joint, reflétant une volonté marquée d’autonomie dans la gestion des dépenses communes.


Objectifs des comptes communs : au Royaume-Uni, priorité aux dépenses du quotidien

Dans tous les pays étudiés, le premier objectif d’un compte joint reste la gestion des dépenses communes : loyer, abonnements, courses. Ce motif concerne plus de la moitié des couples britanniques vivant ensemble, et autour de 40% en France et en Espagne.

En revanche, la préparation de l’avenir (achat immobilier, projets d’investissement) est bien plus présente chez les couples français et espagnols, qui y voient un outil de construction à deux (jusqu’à 30% des réponses), contre moins de 20% au Royaume-Uni.

Des outils modernes pour des couples modernes

Pour gérer leur argent à deux, les couples européens se tournent vers le numérique : les tableurs partagés sont rois au Royaume-Uni (54%) ; en Espagne et en France, ce sont les applications de budget telles que tricount qui dominent (34% et 29% respectivement). Les méthodes classiques comme les enveloppes en liquide ou les discussions ponctuelles sont désormais marginales.

« Les couples d’aujourd’hui ne veulent plus d’un modèle unique. Ils souhaitent un équilibre entre finances communes et finances séparées, avec surtout une grande flexibilité, adaptée à ce qui convient le mieux à leur relation. » explique Bianca Zwart, Directrice de la stratégie chez bunq


Classement des raisons les plus fréquentes de disputes liées à l’argent (tous pays confondus)

- Objectifs d’épargne ou de projet à long terme (43%)

- Différence de revenus entre les partenaires (32%)

- Inégalités de contribution (22%)

- Dépenses non autorisées sur le compte joint (17%)

- Manque de transparence financière (12%)



À propos

bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, a entièrement repensé le modèle bancaire. Première banque au monde propulsée par l'IA, bunq intègre sa technologie propriétaire d’IA à tous les niveaux de son activité : qu’il s’agisse d’aider ses utilisateurs à mieux gérer leurs finances ou d’optimiser ses propres opérations internes. En développant un produit fondé sur les besoins et attentes réels de ses utilisateurs, bunq simplifie la vie des personnes et entreprises nomades, en repensant la manière dont elles dépensent, épargnent, budgétisent et investissent.

Véritable pionnière, bunq a été la première banque à obtenir une licence bancaire européenne en plus de 35 ans, a levé la plus importante série A jamais réalisée par une fintech européenne (193 millions d’euros) et est devenue la première néobanque de l’UE à atteindre une rentabilité structurelle. Dans le cadre de sa mission visant à bâtir la première néobanque mondiale, bunq a franchi une nouvelle étape en octobre 2025 en entrant sur le marché américain en tant que courtier agréé, avec d’autres expansions à venir. En savoir plus : www.bunq.com

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